Afin de garantir une circulation homogène et sécurisée de la monnaie, des moyens de paiement ont progressivement été mis en place partout dans le monde. Faisant partie inhérente du système bancaire des États, les différents moyens de recouvrement ont pour objectif de traiter une gamme étendue d’instruments dits « financiers ». Ces derniers sont aujourd’hui particulièrement nombreux, à tel point que les consommateurs ont parfois du mal à détecter les plus intéressants d’entre eux.
Si vous surfez sur notre site web aujourd’hui, c’est probablement parce que vous aimeriez en apprendre davantage sur les rouages des systèmes de paiement en France et dans le reste du monde… À moins que vous ne soyez à la recherche de celui qui correspond parfaitement à votre situation ? Dans les deux cas, sachez que vous venez de frapper à la bonne porte. Dès à présent, nous allons percer l’ensemble des secrets qui se cachent derrière les solutions de paiement. Prêt pour la grande aventure ?
Théoriquement, un moyen de paiement n’est rien d’autre qu’une solution technique permettant d’effectuer une transaction ou une dépense. Mais de manière plus globale, les solutions de paiement se rapportent à toutes les méthodes qui permettent d’acheter ou de vendre un produit ou un bien. Telle est la définition d’un moyen de paiement.
Toutefois, toutes les méthodes pour payer ne se ressemblent pas. Bon nombre d’entre eux disposent de caractéristiques uniques qui offrent une flexibilité plus ou moins importante à l’utilisateur. Dans notre guide sur les moyens de paiement, nous identifierons avec vous les attributs et particularités des principaux modèles, qu’il s’agisse de moyen de paiement en ligne ou de solutions tendance telles que PayPal. Si cette étape est essentielle pour bien comprendre les droits que possède le consommateur, elle est aussi indispensable pour appréhender correctement les spécificités de chaque solution : délais de traitement des transactions, montants éligibles et éventuels motifs de rétractation seront ici passés au peigne fin.
Les moyens de paiement sont nombreux et variés. Afin de mieux les identifier, on les a classés et ordonnés de manière logique et rationnelle. Si les plus répandus d’entre eux sont indéniablement les espèces, les chèques, les cartes de crédit et les virements, d’autres émergent et tendent à imposer un nouveau modèle. Il faut dire que les habitudes financières changent au gré des révolutions technologiques et des nouvelles tendances. Quoi qu’il en soit, chaque méthode a la même finalité : garantir la circulation efficiente de la monnaie entre les consommateurs, les infrastructures, les établissements et les systèmes interbancaires.
On notera qu’en France, bien que certains moyens de paiement puissent être imposés par la loi, entreprises et particuliers ont généralement le choix de recourir aux méthodes qu’ils préfèrent, à moins bien sûr qu’il n’y ait obligation légale. À cet égard, il semble crucial de connaître les différents moyens qui existent – lesquels sont actuellement au nombre de seize –, un moyen de lever toute ambiguïté quant aux différents champs notionnels mais surtout de renseigner l’utilisateur par rapport aux alternatives qui s’offrent à lui.
En France et ailleurs dans le monde, l’organisation du système de paiement se construit autour de grandes entités qui ont pour responsabilité de rendre la circulation de la monnaie plus rapide et plus facile, mais pas seulement. En effet, certaines d’entre elles œuvrent pour la transparence des procédés et s’assurent du respect des lois, droits et devoirs de chacun.
Dans l’Hexagone plus particulièrement, l’exercice des activités bancaires, des services d’investissement et des services financiers s’adresse principalement aux établissements qui disposent d’un agrément ou d’une autorisation soumis à une surveillance des autorités de contrôle. Les autorités de contrôle justement, font partie de ces structures occupant un rôle prépondérant sur la place financière en France. Dans cette rubrique particulière de notre site web, nous tenterons de définir quelle est la notion d’établissements de paiement, ces derniers pouvant se décliner en une multitude d’entités aux fonctions et responsabilités diamétralement opposées. On notera toutefois que depuis le 27 juin 2013, une ordonnance a établi les répercussions de l’évolution des statuts appliqués aux organisations en France.