L'Association Française des Marchés Financiers, abrégée AMAFI, est un organisme professionnel français qui réunit une centaine de sociétés financières adhérentes cotées en bourse. En effet, la majorité des adhérents de l’AMAFI sont des sociétés d’investissement. Toutefois, on trouve aussi dans ses rangs des établissements de crédit et des opérateurs d’infrastructures de marché, ces derniers permettant de stimuler les négociations sur les places financières.
L’Association Française des Marchés Financiers est composée de plus de 120 adhérents à la fois français et étrangers, l’équivalent de 10 000 professionnels du secteur de la bourse et de la finance opérant tous à Paris. Quant aux missions de l’Association Française des Marchés Financiers, elles sont nombreuses. Cet organisme professionnel tricolore assure la promotion des activités des marchés financiers français, représente et défend les intérêts de ses adhérents, les informe sur les nouvelles réglementations et réfléchit sur d’éventuelles pistes d’amélioration.
On notera que l’Association Française des Marchés Financiers a mis au point un Conseil Scientifique dont le rôle est prépondérant. Fondé en mai 2010, ce dernier est composé d’économistes, d’universitaires, de journalistes et d’ingénieurs.
Le Conseil Scientifique de l’AMAFI a pour objectif de prendre part aux débats d’actualité inhérents aux répercussions économiques et sociales des marchés financiers. Le Conseil Scientifique étudie également les questions relatives au financement des grands projets économiques et à la gestion de l’épargne. On remarquera d’ailleurs que l’AMAFI est très présente sur la scène intellectuelle. En plus de la réalisation de conférences et de colloques académiques, l’AMAFI a dédié un espace entier à la réflexion dans ses locaux.
L’Association Française des Marchés Financiers représente aussi les intérêts de ses adhérents auprès de l’Assemblée Nationale, deuxième moitié du Parlement français. À ce titre, en octobre 2016, l’AMAFI a récemment déclaré que les coûts annuels attachés aux activités de représentation d’intérêts de ses membres auprès du Parlement ne dépassaient pas 10 000 €.
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